Sur le chemin chagrin tous nos printemps défilent Le sourire se ride au gré de nos soucis Sur la route du doute où les pièges mutilent Rêves comme idéaux finiront obscurcis…
Sur le temps toboggan tout fout le camp et glisse L’instant de nos vingt ans est vite démodé Sur un air éphémère où s’exerce Narcisse L’eau trouble de la vie est chant inféodé…
Sous le regard sans fard des illusions perdues L’âme se carapace avec des placébos Sous la pluie et l’ennui les convictions vaincues Avec humilité modèrent leurs propos…
Sous le joug si tabou de la mort en arpège Notre guitare pleure à l’ombre des enfers Sous la faux sans repos ignorant le solfège La vie enseigne à tous qu’existe son envers…