Non le choc n’est pas feint Quand avec violence Il comble notre faim Faisant que l’Excellence Nue arrive à sa fin Et qu’avec virulence Notre âme crie enfin…
C’est comme un coup de foudre Révélant le joli Qui s’impose et saupoudre Sur notre être affaibli L’émoi qui sait résoudre Cet interne conflit En voulant nous absoudre…
Cette heure où tout va bien Est une trêve intime -Plaisir aérien- Une aumône anonyme Un grand chant grégorien Résonnant magnanime En nous tout petit rien
Qui se retrouve en phase Avec tout l’absolu Et qui dans cette extase Jette son dévolu Sur ce fragile vase Où fleurit le salut Qui d’un coup nous embrase…