Les pleurs du malheur sont cinglante averse Qui bat d'un toujours notre pauvre sol... Le pas de l'humain résigné traverse Son temps sans bonheur sinon d'un survol...
Rire d'été...
La vie au zénith brille sous juillet Sa douce chaleur caressante inonde... Par trois quatre mots d'un gentil billet Elle nous sourit l'âme vagabonde...