Doucement le temps dépouille L’intelligence en bafouille Mais pourquoi donc cette embrouille L’être voulait simplement Vivre heureux paisiblement -Trop naïf probablement-…
Dans le soir et sa surprise -Evoquant une traitrise- Parfois tous on s’autorise Dans l’ombre à juste s’asseoir Essayant de concevoir Où nous conduit ce couloir…
Quand fleurit la conscience De ce qu’est l’évanescence Disparait l’insouciance Mais n’en soyons pas aigris Ce que nous avons appris Est une perle sans prix…
Qu’un regard de plénitude Loin de cette finitude Devienne comme un prélude Car il n’est jamais trop tard Pour qu’un bel amour sans fard Bien haut flotte en étendard…