Ces vieux mais qui sont-ils Perdus sans énergie Là dans un tremblement Qui jamais ne s’apaise Qui nous met mal à l’aise Dans un essoufflement Dans une léthargie Les projets en exils…
D’une drôle de tête Ils semblent être ailleurs Si certains nous regardent On en est tous gênés Voire parfois peinés L’avenir se lézarde Emaillé de frayeurs -Inutile requête-…
Est-ce en nous un miroir -Un miroir du passé- Qu’ils fixent qu’ils observent Sans modération Dans une émotion Ayant peu de réserve Qui ne sait se lasser De penser se revoir…
Dans une certitude Tous comme nous allaient Forts d’une insouciance Au parfum de printemps Aux demain éclatants Remplis de confiance Leurs futurs s’étalaient Vibrant de quiétude…
Illusoire matin Un horizon de brume S’annonce dès midi Subtil imperceptible Dans un souffle inaudible D’un éternel non-dit -Aucun ne le présume- Le soir tait le certain…
Dans cette même barque Vogue l’Humanité Les eaux semblent sereines Trompeur est l’océan Un abysse béant Aux fosses souveraines Sait sans formalité N’être qu’un vil monarque…
1 « Chaque homme porte la forme entière de l’humaine condition » - Montaigne.
Fait générateur : « Nantes : "Les résidents prennent une douche par semaine pour 3 500 euros par mois", après la parution du livre "les fossoyeurs" qui pointe de graves maltraitances au sein du groupe Orpea, les langues se délient. - Publié le 04/02/2022 ». https://france3-regions.francetvinfo.fr/pays-de-la-loire/loire-atlantique/nantes/nantes-au-20-de-chaque-mois-on-manque-de-protections-hygieniques-apres-la-parution-du-livre-les-fossoyeurs-qui-pointent-de-graves-maltraitances-au-sein-du-groupe-orpea-les-langues-se-delient-2447925.html