Puisqu’un beau jour il faut partir -laissant le faux comme le vrai- Vers l’inconnu que l’on devine au travers de moult certitudes Où l’opposé brille toujours rendant le tout souvent abstrait J’écarte ici cet inconnu son positif ses servitudes Sans le maudire ou le nier dans le respect de son Secret En regrettant en constatant qu’il soit le chef de conflits rudes Là je souhaite uniquement manifester un intérêt A ceux qui sont encor vivants dans tout un flot d’inquiétudes…
On s’est parlé dans un échange on s’est compris Ou bien alors en s’opposant c’est le contraire Qui se passa peut-être même avec des cris Si c’est le cas tous ces heurts qui nous rencontrèrent Je les regrette en moi leurs ‘feux’ sont circonscrits Je veux la paix sous un ciel bleu pas le tonnerre…
Que dans une onde un sentiment D’Humanité laisse une trace Qu’un souvenir tout gentiment Parvienne à vous dans une grâce…