Il ne faut pas faire fondre le soleil en larmes...
Souvent l’amour se joue à volets clos Mais le soleil traverse la persienne Et ses rayons tout en mélimélos Ont ta chaleur douceur épicurienne…
Les yeux fermés seul sur un trop grand lit Paisiblement ton aura me caresse Ton souvenir comme un tendre conflit Est le passé d’un futur sans promesse…
Amour sépia printemps sous gel d’avril Notre passion en saveur aigre-douce Reste une icône ignorant le péril Une vestale où rien ne la courrouce…