"In a world (...) that is burning in its grees"... (1)
L’homme est plein d’espérances L’homme est affirmatif L’homme est plein d’évidences C’est comme jouissif…
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‘Sage’ autoproclamé tout en haut de l’échelle Il taille autant qu’il coupe avec un brûlant zèle Le délire au pouvoir génère des projets Dont les vraies questions demeurent hors-sujets
C’est idem pour le sens qui trop souvent s’élude D’un revers de la main d’une fière attitude Au-delà du comment rechercher le pourquoi Lui semble saugrenu lui semble inadéquat
Mais quelle est notre tâche aurions-nous un rôle Le doute et le certain plus que souvent nous frôlent Sommes-nous tous ici victimes et bourreaux Qui mettent le futur derrière les barreaux
De multiples avis de multiples contraires Font d’abondants débats frileux ou téméraires Le vertige qui vibre est là face à l’horreur De tout cet existant qui dit cherchez l’erreur
‘Ce n’est pas moi c’est lui !’ tout le monde s’accuse Se chantent des yakas -le sérieux s’amuse- Le temps tourne et s’écoule en victime d’égos L’altruisme se meurt sous nombre d’embargos
Au final et déjà l’horizon se chagrine Car il pressent qu’il est roulé dans la farine Après nous le déluge advienne que pourra Ultime ‘Moi d’abord’ mais qui donc l’avouera...
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L’homme est suicidaire L’Homme est son avenir C’est comme secondaire L’homme hait l’Avenir...
(1) Dans un monde qui brûle dans sa cupidité Moody Blues - Question
