Qui connaît nos fondements Qui connaîtrait nos abysses Méandres de la psyché Fébrile magma de lave Volcans plus ou moins éteints Les troubles de l’origine Plus forts qu’on ne l’imagine Ne sont jamais très lointains Hier n’est pas une épave Il aime à nous aguicher Amertumes non factices Et réels ébranlements…
Vont les forces traumatiques Ce de toute éternité Que rarement sympathiques Au sein d’une impunité Leurs jougs parfois dramatiques Façonnent l’humanité En ondes fantomatiques...
Nota : je fais ici rimer ‘psyché’ avec ‘aguicher’ considérant donc que ce mot se lit ‘psi-ché’. Cela est nouveau, l’ayant toujours lu précédemment ‘psy- ké’. Opportunisme ? Non. Erreur -que je ne renouvellerai plus- née sans doute de la phonétique du terme ‘psychédélisme’.