La machine s’affole autant qu’elle s’emballe Cent balles c’est donné le délire au pouvoir En veut plus toujours plus dans une inconscience Qui le pousse en avant dans un ‘On verra bien’ Le problème d’après cela n’est pas le sien Il périt délaissé dans l’insignifiance Après nous le déluge -aucun sens du devoir- Pour demain le présent reste un sombre vandale…
La machine est lancée un peu comme un train fou Comme un beau Titanic qui donc est aux commandes -Des vaniteux requins qui sévissent en bandes Et pour qui l’avenir reste un non-sujet flou- ?