Que pleuvent des baisers sur ton cœur en jachère Pour que viennent fleurir le bonheur et l’été Et que tu puisses enfin mais loin de l’éphémère T’abreuver d’absolu et ce à satiété…
Que brille ton regard de son vert émeraude Pour qu’un fin joaillier te voit tel un écrin Et que par sa douceur parte la peur qui rôde Dans une vie longue comme les soirs de juin…
Qu’avant le crépuscule et le bout de la route Pour que ta vie à deux ne soit que chant heureux J’ose les roses sans les épines du doute Elles te parviennent portées par tous mes vœux…