M’emmenant gentiment pour visiter sa vie Quelque peu rock and roll faussement assagie J’ai découvert du vrai une photographie…
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Le pays de l’étrange est celui de l’humain Le fond de sa psyché n’est pas du cousu main Des contradictions constamment s’y bousculent Dans un froid glacial dans une canicule
Il n’est qu’une victime en acteur/ spectateur Du vaste espace-temps ce fourbe géniteur Qui sait bien se moquer des belles apparences Qui sait bien bafouer les belles convenances
Le pays de l’eau calme abrite des remous Plus ou moins enfouis plus ou moins aigres-doux Qui parfois dorment bien qui parfois se réveillent Alors le beau discours soudainement bégaye…
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Lors de ce tutoiement j’ai vu sa nudité Celle de son esprit son ambiguïté J’ai rencontré son âme et sa fragilité…