L’éternité du temps ses milliards d’années Tout cela nous fascine et génère un émoi Toutes nos questions sont alors spontanées Un trouble nous regarde et nous montre du doigt…
Mais l’année est pourtant inhérente à l’espace Et pour toujours liée à la terre au soleil Notre raisonnement pour qu’il soit perspicace Doit chercher à quitter l’ombre de son éveil…
Car sans notre planète ainsi que notre étoile Que serait donc le temps serait-il absolu Un fantasme s’écroule un frisson se dévoile D’un vertige abyssal -vertige irrésolu-…
Le temps devient l’enfant -sans être fils unique- Du big-bang primitif de ce commencement Mais n’est-il pour autant qu’un processus chimique Ou n’est-il qu’un reflet d’un ordonnancement (?)…
Ce sont des quadruplés qui sont venus au monde Et Chronos a trois sœurs largeur longueur hauteur (Tout est dit rien n’est dit toujours l’énigme abonde En gravité quantique - écho de droits d’auteur ?-)…
Bref sans notre univers pas non plus de durée L’éternité résonne elle circule en rond Au sein de ce bocal elle reste cloitrée… Est-il un existant dépassant ce giron ?