« La nature a horreur du vide » cet adage est connu… Cette bonne dame m’a-t-elle vomit pour le combler En compagnie des chiens et de l’ensemble des créatures M’utilisant comme pour éviter son propre naufrage ?
Simple amas moléculaire masquant sa déconvenue Je ne serais qu’excroissance avant de me voir rejeter Dans un néant niant et refusant l’idée de revoyure Déclarant vains les débats présents depuis l’Aréopage…
‘Que’ « copié/collé » ma nature a aussi horreur du vide Alors sur les boulevards des illusions et des envies Je rentre tête baissée dans les impasses balisées Où je m’habille de chimères qui ne sont que béquilles…
Mais de quoi mon « je » profond se montre-t-il vraiment [avi La confusion entre être heureux et content n’est pas la Vie Être content d’avoir trahit souvent un malheur masqué Car parfois avec le temps les beaux idéaux s’éparpillent…
La pensée ne serait-elle qu’un phénomène chimique ? La vérité n’est-elle que l’éternité de la mort ? N’y-a-t-il pas de partitions derrière chaque musique ? Et l’amour n’est-il pas autre que leurre pour fuir son sort