Un visage humain nullement figé Un jour souriant un autre affligé Le vent de la vie étant mitigé…
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Quand hier frémit le regard se brouille Le présent ailleurs alors se verrouille Sous l’autorité de nombreux jadis Qui tous magnifient la blancheur des lys
Quand sans prévenir le passé s’invite L’azur disparaît tout le ciel s’agite D’une résurgence aux flux aigres-doux Qui savent laisser moult arrière-goûts
Quand déterminé surgit un naguère Le temps suspendu semble bien précaire C’est tout un émoi qui là prend la main Et qui sait parfois mettre en examen…
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Au creux d’un ping-pong innocent/ coupable Un jeu plein d’aigreur que trop redoutable D’un feu consumant se montre effroyable…
Nota (sur le dernier vers de la deuxième strophe) : « Le lys blanc est ainsi (…) le symbole de la pureté.(…) Mais d’un autre point de vue, le lys blanc peut représenter le deuil ». langagedesfleurs.org/lys/