L’homme finit par mourir Mais ses démons lui subsistent Ils ne sauraient dépérir Ils demeurent tous en piste…
Dans la noirceur du tableau Jamais rien de très nouveau L’horreur est toujours de mise Le pire se préconise C’est de toute éternité -Lugubre pérennité- Que sans le moindre scrupule Que dans le temps déambulent Les acolytes d’Ares Qui vont nullement HS Qui se moquent de la Vie La faucheuse en est ravie..
Ainsi l’homme est un pantin Mais qui donc est aux manettes Le sage en perd son latin En pleurant sur ses défaites...