Le réel tamisé s’érige en seul regard Tamis du subjectif qui n’est qu’une entourloupe Où constamment le leurre est là comme un bavard Tamis du doctrinal -bateau fou sans chaloupe- Qui beaucoup trop souvent n’est rien qu’un cauchemar…
L’acteur indépendant dans cette pantomime Doit garder sa parole il n’est pas au casting Car tout le convenu l’écarte l’élimine Tout l’endoctrinement constamment tient meeting Toujours sa main de fer s’impose prédomine…
Le rêve se construit -qui dit vrai qui nous ment- Dans l’espoir d’un demain le présent se digère Le futur est perçu comme un prince charmant Mais sa main là tendue est-elle mensongère Ce nouveau subjectif n’est-il qu’un beau roman…