‘Chaque heure du jour qui s’avance’ À pas feutrés sournoisement Reste sans cesse en connivence Avec la mort fatalement -Triste destin sombre allégeance-…
Mais qui le voit mais qui le sait Ce pas-à-pas semble immobile Le geste est loin de tout corset L’horizon rit très volubile Mais qui le sait mais qui le voit Le temps nous leurre -il est habile- Il sait former tout un convoi Ignorant ce qui se profile…
Chaque heure du jour qui nous ment Cache la nuit son grand silence Dans l’ombre de ce dénouement Nous affichons une opulence Prémices d’un grand dénuement…
Nota : Premier vers emprunté à Francis GEORGE-Perrin