‘apprivoiser l’espace’ Et son copain le temps Les désirs prennent place Sachant être haletants Forts d’une belle audace…
Bien sûr que nous vivons Au sein d’une étroitesse D’une indélicatesse Que tous nous percevons L’angoisse s’accumule Le fictif la jugule Ainsi nous cultivons Une vigne illusoire Qui nous fait que trop boire Dans le vain nous rêvons…
…
Apprivoiser les spasmes Qui sont fils de tourments Savoir fuir les fantasmes Et leurs envoûtements Aux fols enthousiasmes…
Nota : Premier vers emprunté à Francis GEORGE-Perrin