Dans le choix assumé de ne jamais choisir Entre flux et reflux resplendit le désir
Bouteille sur la mer que bien des flots emportent Des sirènes ‘parfois’ dans un rêve l’escortent
La tempête sévit apparaît un écueil Neptune s’en amuse -éprouvant ‘bon accueil’-
Le Hollandais volant de nulle part s’exhume Flottant sur l’horizon bondissant de la brume
Île de sable fin couleur de paradis Un leurre croit chasser les lendemains taudis
Dans l’azur au pouvoir une ancre se dessine Elle devient un port l’illusion fascine
Enivrantes saveurs voluptueux monoï Chimérique ‘Vingt ans !’ l’égo joue au play-boy
Puis survient une vague emportant au passage Le beau château de sable -il n’était qu’une image-...
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El Niño tsunami la mer a ses secrets Les paisibles courants se révèlent discrets Le grand large est à l’œuvre appelant la bouteille Toutes voiles dehors un songe l’émerveille…
(1) Comme la limite de la grève et de la mer change avec les marées (Traduction lacoccinelle.net ) That's no way to say goodbye - Leonard Cohen.