Le sombre de la nuit de synapse en neurone Progresse lentement jusqu’à cette blancheur Qui prive de sommeil demandé par aumône Refusé durement par un instant tricheur Où la montre s’arrête et que rien ne détrône…
Le soleil au zénith -le lumineux du jour- Sait être une caresse où la torpeur s’éveille Dans une douce ivresse apparaît le glamour Il prêche l’abandon puis tendre il nous conseille De suivre ce futile il mérite un détour…
Aucune symétrie à l’ombre du contraire N’est jamais apparue et tous les négatifs Si chers à la photo ne peuvent s’en extraire Tous nos raisonnements si souvent subjectifs Ne sont que les jouets de notre œil arbitraire…