La laideur d’un Vieillard Fait passer la pilule Son corps tout rabougri Fait admettre la tombe Après tout pourquoi pas Inutiles débats Si de suite il succombe Sous un ciel amaigri Qui donc est incrédule Voyant le corbillard ?
Le présent amnésique Ignore que la chair De cet être sans vie Respirait la beauté Celle de la jeunesse Qui croît en la promesse D’un tout de loyauté Glorifiant l’envie D’un bel horizon clair -En avant la musique !-…
Le présent embrumé Est là sans prospective Car un demain viendra Comme un briseur de rêves Tout le monde vieillit En étant assailli Par de multiples glaives Qui ternissent l’aura Dans toute une offensive Du bonheur sublimé…
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Voilà toute l’histoire D’identiques parcours Au sein d’un grand brassage Se croisent dans le temps Mais dans une ignorance Dans une indifférence Où seuls sont ‘importants’ Les reflets de notre âge Mais se suivent les tours Aucune échappatoire…