Les errances du temps inhument les promesses La pureté d’hier se ternit ‘quelque-peu’ Disons-même beaucoup car à jamais s’oxyde L’aurore lumineuse et le matin rieur Qui sont défigurés par un après railleur Si l’idéal s’entête à rester translucide Il va dans un réel qui fait tout ce qu’il peut Pour lui faire subir des ‘indélicatesses’…
Les choses sont ainsi majoritairement L’azur est temporaire une sombre grisaille Cachée en un là-bas surviendra pour ternir Le rêve et sa Beauté comme aussi l’avenir Dans ce proche demain si le miroir trésaille Ce n’est que pour trembler avec effarement…
Avec lucidité le regard qui se brouille Laisse échapper parfois un pleur d’émotion -L’entropie au pouvoir sans cesse à l’action Sait gripper la machine et déposer sa rouille-...