Oh mon Enfant mon tout petit comme je t’aime Depuis toujours jusqu’à jamais jusqu’à l’extrême Jusqu’à ma mort plus que ma vie et que moi-même…
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Je t’ai rêvé dans la couleur brisant le gris D’un ciel futile aux lendemains plus qu’assombris Qui vivotait qui survivait dans ton attente Sans cesse là d’une façon déconcertante
Je t’ai voulu dès mon ‘jeune âge’ étonnamment Je n’avais pas celle à qui tu dirais ‘Maman’ J’ai su garder un bon espoir -tu le devines- La suite à l’œuvre est un bonheur que tu dessines
Je veux te dire aujourd’hui que tombe le jour Que ‘vite fait’ au clair futur je serai sourd Que ces années sont au final plus qu’une aubaine Que ces années sont pour mon âme une fontaine…
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Beau souvenir certes bateau très anodin Peut-être vu par un quidam avec dédain Il sait pourtant être La fleur de mon jardin…
Notas :
Le titre est né de la contraction du prénom de mes deux enfants, Maximilien et Simon.
Ce poème : - est dans le sillage d’un autre écrit il y a ‘fort longtemps’, à une époque où Dame prosodie ne m’avait pas encore révélé ses charmes : « Je ne suis plus le papa de mes enfants... ». - est sur le site AFROpoèsie (septembre 2024), - a été publié dans la revue "LE JOURNAL à Sajat" (novembre 2024), - a été publié dans la revue "FLORILÈGE" (n° 197 - décembre 2024).