Dans le vain de la vie et dans le vent du temps Tout le vin des soucis vient nous brouiller la tête Nous allons fatigués nos maux sont bien portants D’un rire sarcastique ils perturbent la fête…
Dans le vain du néant dans le vent de l’oubli Tout le vindicatif finit par disparaître Et dans le grand respect du silence anobli Notre "éternelle" grogne arrive à se démettre…
Dans le vin dans l’alcool dans un vent enivrant Tout le vain de la vie un instant se dilue L’artifice est trompeur le réveil est navrant Notre existence est-elle une fable absolue…
Dans ce vain déployé dans le vent du fini Tout le vin du miroir s’offre dans un calice Pour nous interpeller -l’être est tout démuni- Sur le jour arrogant cette question glisse…
Dans ce vain déployé dans le vent du fini Tout le vin du miroir s’offre dans un calice Pour nous interpeller -l’être est tout démuni- Dans le jour arrogant notre doute se lisse…
Dans ce vain déployé dans le vent du fini Tout le vin du miroir s’offre dans un calice Pour nous interpeller -l’être est tout démuni- Le questionnement sait rester en coulisse