Le petit faon gracile Au regard étonné Vite s’immobilise Dans la grande forêt Tout le corps en arrêt L’émoi le paralyse Et vient le bâillonner Par un trouble immobile…
Le tout petit enfant Rapidement s’étonne Tout immobilisé Tout seul face au grand monde Ebahi par sa ronde Comme paralysé Une peur le bâillonne Le laissant larmoyant…