Regardez ces enfants, fleurs de demain sans avenir, Sinon le même que celui des gamins d’avant-hier… La poussière de toujours suit l’innocence d’un jour Et le vent sait entonner dardar le ‘Chant du départ’…
Entre passé et futur pleurons sur nos gènes épars : S’il y eut et s’il y aura des modèles d’amour, Notre lignée est aussi porteuse d’idées guerrières… Je frémis devant ces abysses sans m’en affranchir…
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Alors mêlons et nos larmes et nos sourires et nos bras… Je veux juste dormir, je suis fatigué de penser… Doucement entendre et sentir ton souffle mon aimée… Et vers la paix des étoiles notre âme volera…