Quand la plume est sa convoitise Lorsque ses maux deviennent mots En solitaire il poétise Trois quatre vers petits rameaux Petit poème une bêtise Petit reflet de sa psyché Qui n’est souvent qu’une bêtise Qui ne veut rien revendiquer Modeste écrit vaine sottise Voyez ce cri le soulevant Voyez ce blues qu’un pleur attise Et qui se perd là sous le vent Sans un regret vaine hantise Et qui se perd dans l’absolu Dans l’infini qui le courtise Et qui se meurt sans être lu Dans le néant qui le baptise…