Dans la laideur de l’être nu seul face à lui-même, Pas de masque substitut à sortir du chapeau... Personne à soudoyer qui lui dira « tu es beau !» Ni personne qui lui roucoule de doux « je t’aime… ».
Les cheveux dents menton qui tombent -et le reste aussi…-, Ne sont rien devant l’écoulement des certitudes Qui restent comme squelette dénuées d’amplitude Et bien cachées derrière une bouche qui sourit…
Hypocrisie si l’objectif est la séduction -Baratin en sourire décor de cinéma-! Mais souffrances si l’objectif n’est pas celui-là -Sourire fragile en bouclier de protection…-.
Les retouches sur la photo sont respect de l’autre... A vingt ans on se réveille et la fraicheur est là ! Puis plus tard devant le miroir on cache cela... Pareil pour les illusions ! Que les jeunes s’y vautrent…
Mais l’espoir se trouve au bout du chemin et bientôt Finies les retouches car disparue la photo...