Un assombrissement De lumières brûlantes Dans le mugissement De pudeurs insolentes Où l’être est aspiré Où l’être déconnecte Où l’être est attiré Où l’être se délecte Devient comme un ailleurs Un réel de rechange Etouffant ses frayeurs D’une belle louange Dans un temps suspendu Dans un temps qui caresse Dans un temps éperdu Haletant de sagesse…