L’être va tel un bloc semblant indestructible Il glisse sur une onde il est intemporel De partout de toujours n’étant plus corporel Il nous semble éthéré quasiment infaillible…
Le mythe est au pouvoir l’aura se veut crédible Au sein d’un subjectif étant comme un autel Où le respect offert au reflet immortel Vibre dans un ailleurs pour les sens inaudible…
Derrière le miroir quand l’âme se dépiaute Enlève son corset du vrai devenant l’hôte Les nœuds qui la tenaient tout d’un coup se défont…
L’image nous mentait dans la beauté d’un leurre L’icône qui pâlit quelques fois même pleure Le roc n’était en fait qu’un fragile chiffon….