Pauvre petit pantin ne vois-tu pas tes fils Un pas devant un autre un pas pour une année C’est le temps qui défile agrément sous apnée Où tous nous présentons d’identiques profils…
Sur le presse-citron la liberté chérie N’est que jeu de hasard n’est que roulette russe Elle n’est que beau fruit qu’il faut par une astuce Convertir aux plaisirs dans une féerie…
Puis un fil est coupé tout va beaucoup moins bien Et puis c’est un deuxième et c’est encore pire Alors -pleurs et chagrins- s’écroule ton empire Pauvre petit pantin… Tes fils encor combien ?