L’espérance au pouvoir dans la brume des rêves Aime nous laisser voir de bien étranges grèves Comme un cadeau du sort à l’abri de rochers De séduisants trésors sont à peine cachés…
Le soleil nous attend sur la douceur du sable Le ciel est éclatant -charme indéfinissable- Pas d’inutile bruit loin des sons agressifs Seuls quelques clapotis chantonnent tout craintifs…
Dans un étonnement toute crainte chavire Dans un foisonnement le bonheur se respire Hier et tous ses maux -détestables intrus Redoutables fléaux- balayés disparus…
Au creux d’un abandon ces instants se dégustent Un parfum de pardon nourrit l’âme du juste Qui ressent cette paix comme une guérison Un souffle de respect vient s’offrir à foison…
Dans notre épais brouillard le chemin de ces criques Est un colin-maillard aux pièges pléthoriques Beauté d’un idéal lumière nous guidant Dans le sombre dédale où rien n’est évident…