Sombrer rebâtir Immuable tâche Qu’aucun fier panache Ne peut démentir…
Ici la nature Avec ses saisons Là toutes les bêtes Qui vont dans un temps C’est idem pour l’homme Qui se reproduit Dans l’évanescence Une transcendance Éclaire sa nuit Mais il se consomme -Contraires latents Calmes et tempêtes Que de feuillaisons- Telle est l’aventure...
Rebâtir sombrer Ce cycle immuable Reste irréfutable... Pourquoi palabrer ?
Nota : ce poème a été publié dans le n°49 (septembre 2024) de la revue "Rose des temps".