Parfois au fond des yeux saignent bien des stigmates Reliques d’un passé venant dicter sa loi Dans un présent absent à des jours automates Où l’ombre du bonheur relève de la foi…
L’œil est miroir sans tain se moquant de la norme Essayant d’avoir l’air d’un sourire poli Le fond de teint sur l’âme est en fait une forme Comme un jeu convenu l’envers restant meurtri…
Mais quand la crue est là -souvenirs volubiles- Le masque d’un coup fuit entrainant le rimmel S’affirment nos hier en sceaux indélébiles Par un ballet spectral requiem informel…