Ne pas être affecté Feindre l’indifférence Mais le cœur impacté Souffre dans le silence…
Qui connaît le réel Le blues continuel Que dissimule une âme Dans le tourment d’un drame Le plus solide mur Comme le bel azur Quelquefois se lézarde Par oubli par mégarde…
Car aller de l’avant C’est ‘oublier’ sa peine Hier reste fervent Mais toute larme est vaine…