La course du temps nous conte fleurette Ici c’est ‘Toujours !’ et là c’est ‘Juré !’ Un leurre qui vibre une onde qui berce Il n’en faut pas plus l’homme dit ‘Banco !’ Alors que pourtant bien vite apparaissent Des pleurs haletants victimes sans cesse D’un triste futur -sombre fiasco- Qui sait mettre fin par un souffle adverse A cet avenir de ciel azuré… La course du temps jamais ne l’arrête