Que les jours semblent longs mais le temps passe vite Ainsi tous nous allons dans le paradoxal En cherchant du certain dans du vague abyssal Par des projets lointains mais l’imprévu s’invite…
Dans un rêve avorté les pleurs de l’immigrant Coulent désenchantés -passe une limousine- Le monde est fait ainsi jamais il ne lésine Pour donner du souci c’est évident flagrant…
Il n’était pas prévu ce petit grain de sable Qui se montre assidu pour tout parasiter Qui se montre teigneux pour nous déshériter La vie est-elle un jeu furtif insaisissable…
La mort rend la monnaie au pays des toujours Lorsque dans l’esprit naît un plan sur la comète C’est un château de paille offert à l’allumette Elle clôt notre bail c’est la fin du parcours…
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Profitons du soleil quand par bonheur il brille Le sourire en éveil conjuguons tout le beau Qui sait aussi s’offrir en actif placébo Pour nous faire acquérir une âme qui scintille…