Les souvenirs oubliés S’entassent dans les armoires S’entassent à l’infini Sur les étagères vides De Chronos ce brocanteur Son éternel inventaire Rapide et rudimentaire Toujours prend de la hauteur Il dit nos hier stupides Dans un méprisant déni Aux regards bien vexatoires... Nos ‘toujours’ vont dépouillés