L’être marche et va -quêtant son essence- Dans la vanité qui n’est qu’un miroir Devrait-il plutôt par un lâcher prise Prendre du recul et s’abandonner Afin d’accepter cette incohérence Qui vient doucement qui sait bourgeonner Au cœur de la vie -aimable traîtrise- Offrant du bonheur d’un vain saupoudroir Avant de s’enfuir vers l’inexistence…