Dans le ciel où le jour naissant s’étire En son horizon tel un point de mire Surgit ton sourire ode au souvenir Qui chassant la nuit revient m’éblouir…
S’approchant de moi jusqu’à son zénith Fuient mes cauchemars et leur sombre éfrit Qui rit d’un bonheur passé bien trop vite Maître de nuits blanches où l’amour m’évite…
S’enfuyant déjà vers un vaste abysse Pendant que l’ombre se tend vers jadis Le feu s’incline devant ce calice Soleil irradiant dont je suis le fils…