La vie aime masquer d’un quelconque artifice Les rides du passé les fragments de douleur Qui ne savent mourir Chronos en receleur Construit notre présent sur un tel édifice…
Aussi bien laid que beau le sourire est factice Sur un ciel de grisaille il met de la couleur Mais le mal est à vif en cri sans haut-parleur -Procès sans avocat même commis d’office-…
Une petite larme et goutte le rimmel Bien loin de l’apparat strictement que formel Qui sait ce qu’elle cache et qui voudrait l’entendre
Un arrêt sur image au sein du temps qui court Ne génère jamais le moindre demi-tour Alors notre amertume hésite à se répandre…