Les flots d’un océan fait d’agressivité Balayent la planète et bien souvent l’inondent Attisés par les vents de la nocivité La haine un peu partout sévit s’agite et gronde…
Les embruns le ressac empêchent d’échapper Partout là comme ici l’atmosphère est humide Des courants belliqueux veulent me rattraper Tous leurs flux menaçants constamment m’intimident…
Il est futile et vain de vouloir écoper Lorsque l’orage est là - terrifiante trombe - Un sentiment bizarre impossible à stopper Ricane insolemment - sourire d’outre-tombe -…
…
Désirable est la mer de la tranquillité Je fréquente sa plage en étant dans la lune Dans cet ailleurs hors-sol et sans hostilité Je savoure la paix loin de toute rancune…
Clin d’œil à Fénelon et son commerce avec la lune (Souvenir -fiable ?- de mes « Lagarde & Michard) Et plus surement à Jules Verne -également poète- et à son poème « La lune ».