Dans le temps qui s’en va dans le temps qui s’envole Nombre de nos projets au final se désolent Le destin les remet entre les mains d’Eole…
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Infini l’avenir en fils de l’horizon S’envisage toujours d’une conjugaison Au futur éternel d’une belle grammaire Qui n’imagine pas que tout soit éphémère
Le présent sait promettre en étant sûr de lui Le matin le zénith mésestiment la nuit La haut le bel azur se révèle limpide Mais pourtant le soleil a la course rapide
Le passé qui s’impose avec un grand ‘Déjà !’ N’est pas un gentleman serait-il un goujat -Qui se moque de nous méprisant ses promesses Qui sont vite étouffées sous des brumes épaisses- ?
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Tout n’est qu’une folie où le certain nous ment Tout cela nous spolie impitoyablement Tout se trouve aboli définitivement…
(1) La fin du rire et des doux mensonges The Doors- The end
