Ce corps qui ne suit plus cet esprit qui défaille Le temps se révèle être un furtif feu de paille -Dans un étonnement c’est demain qui tressaille-...
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L’égo comme angoissé se sent dans le viseur Tout au bout de la route il existe un tueur Qui tranquille et peinard bientôt lui fera signe Viens par ici mon frère afin que je t’aligne
Dans un électrochoc rétrospectivement La douceur du passé brille amoureusement Elle qui dans jadis semblait presque anonyme Au fort d’un aujourd’hui que bien peu magnanime
Un péage une impasse (?) où les dés sont jetés Où le bel apparat sent ses jours maltraités Déjà son avenir pleure sur le malaise Qui surgit qui s’installe annonçant sa genèse…
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Le fantôme fringuant d’un homme bientôt vieux Hante un gentil naguère il lui fait ses adieux Se sachant appelé par moult et moult aïeux...
(1) Il y a un tueur sur la route Riders on the storm – Doors
