Dans le rêve brisé d’un présent qui déchante Nous pleurons des demain qui ne seront jamais Portés par des hier fantasmés de palais Où devait scintiller une vie aguichante…
Mais l’imprévu survient mettre son grain de sel Trop souvent l’existence aime le vent qui tourne Sous une force sept tout le calme s’ajourne Il sait nous entêter ce tour de carrousel…
Elle sait étonner cette fête foraine Par tout l’inattendu de ses attractions Elle procure aussi quelques commotions Lorsque sa loterie est au cœur de l’arène…
Pas de remboursement le tour n’est pas fini Ici le train fantôme ici le labyrinthe Comme l’enivrement d’une mauvaise absinthe Pour un rire forcé légèrement terni…