L’homme flâne déambule Sur un tapis brodé d’or Au sein d’une exactitude Qui scintille pour toujours…
Un orgueil le véhicule Il frime et joue au cador Dans une fière attitude Il s’enivre de discours…
Mais ce n’est qu’un somnambule Ignorant qu’en fait il dort Le rêve est sa servitude Il n’est fait que de velours…
Mais le laissant incrédule Un soir explose la bulle Qui devient un corridor Terminé d’un mirador Sentiments de solitude De doute d’incertitude Terrible compte à rebours… Qui viendrait à son secours ?