Sous des airs de déserts blancs perdus d’antarctique Se recueillent en cercueil des ondes telluriques En pâlit Rechter tant elles sont chaotiques Fort déchainement de fortes forces sismiques Ebranlement trouble choc fantasmagorique…
D’impudique pudeur D’une pure blancheur…
Naissance de volcans cratères turgescents S’ouvrant à la vie en troublant durcissements Où l’alpiniste très paradoxalement Ne s’enfuit pas mais se hisse rapidement A la conquête du Santorin enivrant…
D’impudique pudeur D’une pure blancheur…
Sous les tropiques au sud un oasis fleurit Tout autour un blanc et fin grain de peau séduit Du séisme découle un torrent d’eau d’envie Une végétation tendre invite à la nuit Pour un rêve précieux coloré en rubis…
D’impudique pudeur D’une pure blancheur…
Le cours d’eau révélé s’enfonce et disparait Dans une Vallée des Rois où se cacherait La quête d’Indiana Jones un couloir secret Caché du soleil qui s’en émerveillerait Protégé par la lune en Vestale à l’arrêt…
D’impudique pudeur D’une pure blancheur…
Quand la terre s’ouvre tous les sens en frémissent Délectables parfums aux effluves d’épices Yeux stroboscopiques qui s’éclairs’assombrissent L’espace sonore est scène de cantatrice Chants que seuls des baillons tendres baisers ternissent…
D’impudique pudeur D’une pure blancheur…
D’une Femme j’ai vu dévêtue la peau blanche Comme un film à l’envers à saveur de revanche A genoux j’ai offert mes deux mains à ses hanches Songe d’âmes émues qui en torsade s’épanchent… Image d’une vie tapissée de dimanche…
D’impudique pudeur D’une pure blancheur Baptisée de douceur Elle fait le bonheur De ceux qui ont l’honneur D’embrasser sa fraicheur…