Non les trois couleurs primaires Dépeignant l’Humanité D’une palette éternelle Ne sont pas ce que l’on croit Ne sont pas ce que l’on voit Mais volant à tire-d’aile Dans la temporalité Elles peignent des chimères…
Chimères aux reflets gris D’un gris virant vers le rouge Où l’espoir que trop marron Se soumet devant les armes Pour se noyer dans des larmes Sans fin vibre cet affront Absolument rien ne bouge Le vert est-il hors de prix ?
Toute l’Histoire l’indique La même imperfection Prend l’Homme le colorise Sans cesse partout l’orgueil Est un véritable écueil Sa désagréable emprise Ignorant l’exception Brille d’un éclat sadique…