Sordide est la nature Son moteur est la mort Sans aucun état d’âme La froideur d’un instinct Par avance décide De ce qui sera fait Et toujours en effet Dans une onde perfide Qui dicte un grand festin -Inscrit dans le programme- Un autre n’a qu’un sort Servir de nourriture…
Et l’homme dans tout çà Au sommet il excelle Sommet de cruauté La ‘sagesse’ animale Se reconnaît en lui Alors quand on y pense -En toute indépendance- Un vertige s’ensuit Un malaise s’installe Plus aucune beauté Dans le sombre modèle Où l’humain s’enfonça…